homme qui fume

Surmonter les dépendances

Il existe de nombreux mythes et idées fausses sur les raisons des dépendances. Certains pensent que les substances en elles-mêmes ne créent pas de dépendance, que c’est la réaction chimique du corps à la substance qui crée la dépendance.

Cette affirmation peut certainement sembler plausible si l’on considère la dépendance au jeu ou au shopping.

Il n’y a pas de produit chimique étranger qui pénètre dans le corps, mais plutôt le corps qui crée sa propre réaction chimique (excitation/adrénaline) en réponse au stimulus externe du jeu ou du shopping, et c’est la sensation à laquelle l’individu est dépendant, pas l’acte lui-même.

Des produits chimiques qui agissent sur le cerveau

cerveau

Il est également compréhensible que lorsque l’on introduit des produits chimiques dans le corps, des réactions chimiques se produisent.

Certaines de ces réactions stimulent les centres de récompense du cerveau, qui se déclenchent lorsqu’une personne fait de l’exercice, tombe amoureuse, est félicitée ou reconnue.

Parfois, une dépendance se manifeste lorsqu’une personne consomme des drogues, des cigarettes, de l’alcool ou même de la nourriture, pour atténuer le stress et les inquiétudes.

Augmenter l’estime de soi

Pour traiter avec succès ces types de dépendance, la personne doit s’efforcer d’augmenter son niveau d’estime de soi afin d’être capable de se sentir bien dans sa peau sans avoir besoin de déclencher ces sentiments par un stimulus externe.

Les circonstances sociales des personnes dépendantes

personnes dans la rue

Il est difficile de prédire si une personne est plus susceptible de souffrir d’une dépendance qu’une autre. Là encore, on a prétendu que certaines personnes souffraient d’une personnalité addictive.

Il est probablement plus sage de prendre en compte les circonstances sociales des personnes dépendantes. Par exemple, si vos parents fumaient, vous êtes plus susceptible d’être vous-même un fumeur. Si vos amis prennent de la drogue, vous risquez d’être influencé par eux.

Il existe bien sûr d’autres facteurs. Si une personne n’a pas de vie structurée ou a connu une vie trop structurée, les drogues peuvent être une forme d’évasion et de détachement d’une vie qui n’est peut-être pas entièrement satisfaisante.

Une dépendance qui augmente avec le temps

Souvent, la gravité d’une dépendance augmente avec le temps. Cela s’explique par le fait que le corps se régule et s’habitue à la présence de la substance chimique addictive dans l’organisme.

Pour atteindre le même niveau de stimulation, le corps a besoin d’une plus grande quantité de la substance chimique addictive.

De nombreuses dépendances peuvent causer de graves problèmes de santé, sociaux, physiques et mentaux et lorsque les substances addictives sont augmentées dans un environnement non réglementé, les conséquences peuvent être dévastatrices.

Changer pour sortir de la dépendance

homme temps change

Heureusement, des changements peuvent être apportés. Les personnes dépendantes ne doivent pas nécessairement le rester pour le reste de leur vie.

Si le toxicomane est disposé et motivé à changer, il existe des moyens d’atténuer et, dans certains cas, de supprimer complètement les effets secondaires du sevrage d’une substance addictive.

La PNL peut aider

thérapeute

La PNL peut être utilisée pour aider le client à comprendre de nouvelles perspectives sur l’impact de la dépendance sur sa vie.

Des techniques peuvent être utilisées pour désensibiliser les associations négatives du passé, et des déclencheurs positifs peuvent être installés pour être utilisés lorsque l’envie de fumer se manifeste normalement.

L’hypnose pour supprimer ses mauvaises habitudes

L’hypnose peut être utilisée pour supprimer les habitudes et modifier le subconscient, la partie de l’esprit responsable de la création et du maintien des habitudes.

Des suggestions post hypnotiques peuvent être utilisées pour associer des sentiments négatifs puissants à l’acte ou à la substance addictive, afin que ces sentiments négatifs puissants soient ressentis à l’avenir si jamais le patient envisage d’interagir à nouveau avec la substance ou l’acte addictif.

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